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IGNORED

Fudbalska kupusara


Lancia

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Zašto Fei ni na jednom threadu ne prati ANC 2014? Squads su the best thing ever i potencijalni rasadnik™ budućih JSL prvotimaca, a glavni ploditelj za sada je renegade Parker...Razočaran sam. <_<

Edited by Oxymoron
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Smara me + sam puk'o pare na Juznoafrikance juce pa me malo i mrzi.Mislio sam da ispratim turnir zbog DR Konga ali i oni imaju neke sukobe sa savezom, duguju im se pare, neki od boljih igraca ne igraju itd... tako da sam batalio, pogledam samo rezultate i to je to.

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edit: greška

Edited by copkillah
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Je li bilo ovo?
I šta, ovo sad nije zlostavljanje, ponižavanje i tretiranje žena kao seksualni objekat?! I to usred civilizovane Evrope, u Belgiji ... Ali već kad smo u tom mačo-seksističko-muško-šovinističkom maniru, ja bih ove cice isto rado gađao ... ali ne loptom ...
  • 2 weeks later...
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Ima li negde pismen tekst o Brazilskom sampionatu, kako i koliko igraju prvenstava, ono-kao Paulista, Karioka, Seria A itd?

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probaj wiki, tamo je dosta objašnjeno, sa sve državnim prvenstvima, objedinjena serija i druga liga, ima stvaarno dosta bar onog osnovnog.

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Odlican intervju legendarnog trenera AJ Auxerre-a, Guy Roux. Prica zasto je u ekipi imao libero-a, o napadacima (i specificnim treninzima koji bi trebali imati), o iscezlim desetkama, o Taribo West-u.

Guy Roux est celui qui a permis à la ville d'Auxerre de connaître une plus grande renommée. Près de 2 000 matches à son actif, si l'on compte les rencontres de foot amateur et les matches amicaux, il présente un parcours unique en tant que coach dans le football professionnel, en France comme à l'étranger. Il n'a néanmoins plus de bureau au siège du club depuis l'arrivée des nouveaux dirigeants. Mais cela ne l'empêche pas de réquisitionner une salle à l'improviste sans demander de comptes à personne pour réaliser cet entretien qui a un petit parfum de rétro.Le Point.fr : Pourquoi avez-vous été longtemps partisan du marquage individuel, matérialisé par une charnière centrale libéro-stoppeur ?Guy Roux : C'est surtout une question d'éducation tactique. Il y avait deux écoles en France. L'une, classique, inspirée du WM à l'anglaise et qui prône le marquage individuel. C'est celle de la Fédération et du directeur technique national de l'époque Georges Boulogne. L'autre prenait pour référence le Brésil de 1958 et militait pour le marquage de zone. Robert Budzynski avec Nantes et Michel Hidalgo plus tard avec les Bleus en sont les apôtres les plus connus.J'étais jeune entraîneur et dirigeais l'équipe du régiment en Allemagne en 1961-1962, j'appliquais plutôt les idées de la Fédé avec le marquage individuel. J'aurais bien voulu ensuite, à mon retour comme entraîneur en France, faire du marquage de zone et suivre cette pensée "dissidente" de Budzynski et des Nantais. J'ai donc essayé cette voie, mais je perdais trop de matches à cause de l'incompétence des juges de touche qui appréciaient mal les situations de hors-jeu, très fréquentes en marquage de zone. Et je ne voulais pas que ma carrière dépende d'eux. Je suis alors retourné au marquage individuel et je donnais la consigne suivante au stoppeur : son haleine sur la nuque de l'attaquant et ses pointes de pied sur les talons de ce dernier.Et, offensivement, quel était votre message ?Mon numéro six s'occupait du numéro dix adverse, mon numéro huit faisait office de milieu tournant et j'avais plus haut sur le terrain un meneur de jeu, deux ailiers et un avant-centre. Et, avec moi, un droitier comme Ribéry aurait joué à droite en qualité de centreur et non pas à gauche en mode fausse patte et donc souvent tenté de revenir sur son pied droit. La fausse patte, comme c'est la mode aujourd'hui, est utile lorsque l'équipe ne joue pas avec un avant-centre pur et que les ailiers ont alors la responsabilité aussi de marquer. Mais vu que, moi, je jouais avec un buteur fixe, il était important que ce dernier soit bien fourni en centres. Les droitiers, je les mettais donc ailiers droits et pareil à gauche.Enzo, Scifo, Moussa Saïb, Yann Lachuer, vous avez toujours également donné un rôle essentiel au meneur de jeu, au numéro dix ? Ce n'est plus vraiment à la mode...Le foot appris dans la rue disparaît de plus en plus tôt pour les gamins qui intègrent assez rapidement un centre de formation où ils apprennent un jeu plus codifié. L'obligation de faire la passe le plus rapidement possible est, par exemple, devenue une obligation qui s'accorde mal avec l'ADN d'un créateur. Regardez le Barça depuis Guardiola qui ne joue pas avec un réel numéro dix pur. C'est l'évolution du football qui veut ça. Mais c'est surtout la disparition du numéro neuf, l'avant-centre, qui est regrettable pour le football français. C'est un poste qui requiert un travail spécifique avec ses propres exercices. Limite, il ne devrait pas s'intégrer totalement à l'entraînement général avec ses coéquipiers mais plutôt bosser ses gammes à part histoire de se préparer à toutes les situations de jeu qui peuvent surgir pour un avant-centre au cours d'un match. Beaucoup de coachs ont négligé cette spécificité et, du coup, nos buteurs français de qualité se raréfient.Déjà, le renard des surfaces ne courait pas trop les rues dans notre championnat il y a 20, 25 ans par rapport aux autres pays. L'Europe de l'Est en avait plus, souvent meilleurs et toujours moins chers. Après, il y a quelques surprises comme le Hongrois Kalman Kovacs qui ne jouait pas un seul ballon de la tête, car les ballons avaient une fabrication très rudimentaire. C'était une torture physique de les taper avec le crâne. Il préférait donc anticiper pour savoir où il allait tomber et est devenu un expert en ce domaine. Le recrutement idéal, tant pour les gros que pour les petits clubs, c'est de trouver le joueur que les autres n'ont pas vu. C'est un peu le même principe que pour les courses hippiques. Le vrai gagnant, c'est celui qui mise sur le cheval que personne ne connaissait au départ et qui remporte derrière la course. Et puis le joueur étranger et sa culture, c'est très enrichissant, et même parfois désarçonnant.C'est-à-dire ?Lorsque nous recrutions en Pologne ou en Hongrie, par exemple. Une partie des transferts était payée en numéraire avec un chèque au profit du ministère des Sports du pays ! Parfois, on faisait même du troc et on leur fournissait du matériel sportif en échange d'un joueur. C'était complètement irréel. Je me souviens par exemple d'avoir envoyé 50 chronomètres suisses de grande qualité à une fédération de football d'Europe de l'Est pour faire signer un joueur originaire de là-bas. Lorsque nous avions eu un contrôle fiscal, le fonctionnaire des impôts était un peu intrigué par cet achat massif. Heureusement, nous avions les récépissés, tout était en règle. Mais le plus mystique, c'était Taribo West, qui pensait avoir Dieu comme 11e coéquipier sur le terrain et qui avait fait une prière dans une chambre de clinique auprès d'un de mes kinés touché par un cancer en phase terminale. Après avoir quitté la chambre, il me confie discrètement qu'il serait mort le lendemain. Le lendemain, il était mort.Pour revenir au jeu, le buteur pur est une espèce rare en Ligue 1. Y a-t-il des liens avec le manque de culture de la gagne des équipes françaises ?Probablement, même si l'approche mentale d'un match de Coupe d'Europe est une donnée essentielle. Pour ces rencontres, et celles contre les grosses équipes françaises, il faut être à 120 %. Comme en décembre 1990, lorsque nous avions battu 4-0 le grand OM entraîné par Beckenbauer. J'avais une dent contre lui à l'époque, car, un an auparavant, nous avions passé quasiment une demi-journée ensemble à Paris, où je l'ai accompagné voir un match en tribunes. Sauf qu'il a affirmé ne pas me connaître quelques jours avant cet Auxerre-Marseille. Cela m'a bien énervé et j'ai emmené toute l'équipe faire un stage commando en montagne. J'ai fait suivre à mes joueurs un entraînement rude sous la neige. Le séjour a même été propice pour un pugilat entre le gardien Bruno Martini et son coéquipier Michel Catalano. Autant vous dire que je savais que mes joueurs, après ce stage, allaient pulvériser les onze Marseillais tellement ils avaient le couteau entre les dents.C'est dans cet état d'esprit qu'un match de Coupe d'Europe doit être préparé. Ce n'est pas ce que je vois aujourd'hui. Je ne dis pas que c'est possible de préparer ses joueurs de telle manière à chaque fois. Sinon, j'aurais gagné la Ligue des champions chaque année. Mais, sur certains matchs, c'est très important de galvaniser les troupes pour faire des coups. Et je reconduisais souvent les mêmes titulaires dans les années 1990 le week-end après les matches européens la semaine. Je trouve donc scandaleuse l'approche actuelle de certains clubs français vis-à-vis de la Coupe d'Europe. Participer à ces compétitions, c'est la messe, pas un poids, et les équipes de Ligue 1 qui ne jouent pas le jeu devraient être sanctionnées. J'ai moi-même connu des éliminations prématurées avec Auxerre, mais nous sommes toujours sortis la tête haute...
Edited by borris_
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Sjajan intervju!

Za 1% foruma koji zna francuski.

  • 2 weeks later...
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Danas naucih novo pravilo u fudbalu.

Kada pucas penal, ako lopta udari u stativu ili precku bez da je golman dodirne, ne smijes je dodirnuti poslije toga.

Vjerovatno je vecina ovdje poznavala to pravilo ali ja nisam pa rekih da podjelim.

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